Depuis hier nous sommes tous des “Berliner”, tenant dans une main une bougie et dans l’autre un mouchoir. Il en faudrait une troisième pour tenir celle de “l’autre” avec lequel on ferait une ronde et on chanterait du Lennon sur le rythme du padamalgame. Lorsqu’on veut rejoindre le centre-ville de Strasbourg, “là où tout se passe”, il faut d’abord faire la queue avant de passer – et se farcir la tronche patibulaire des contrôleurs – qui vous contraignent à ouvrir vos sacs et même votre veste. Mais, apparemment, Strasbourg se limite à la Grande Île. En dehors, notamment au centre commercial des Halles, pas le moindre des moindres contrôles. Encore moins qu’avant l’attentat de Berlin. Ni aux entrées principales, ni […]