Aidez Heb’di ! « L’animal » des médias libres en voie de disparition requiert votre attention.

Comme le pangolin ou l’ours lippu, l’animal des médias alsaciens a des amis et aussi des ennemis. Votre journal appréhende la canicule, surtout pécuniaire ! « Seul » média libre, car ne dépendant d’aucune subvention lance sa campagne d’abonnements et de dons.

 

On est archi-lu, mais…

Ok, c’est l’été, Heb’di rejoint la cohorte des pleureuses médiatiques en indiquant comme ces derniers : vous voulez une presse libre ? Aidez-nous !

Abonnez-vous, s’il vous plaît. Les copier-collers très nombreux de nos articles se retrouvant même sur la table du président de la République sont flatteurs, mais cela nourrit pas son homme.

Profitez donc de la superbe promotion de cet été. 3,90 euros au lieu de 4,90 le mois, 39 euros pour l’année si vous ne ratez pas le coche !

La liberté de parole, cela se paie !

Le plus amusant est que… les antiHeb’di, souvent les mêmes dénoncés dans nos articles sont abonnés sous de faux noms. Ce qui ne les empêchent pas de nous insulter sur les réseaux sociaux. Une belle reconnaissance, même s’ils ne jouent pas le jeu de la transparence et de l’équité.

Bien sûr, s’ils sont pris la main dans le pot de confiture, ils hurleront contre le journal, jureront qu’ils sont blancs comme neige et que les méchants : c’est nous les journalistes. On nous gratifiera de tous les noms des liminaires et de termes scatologiques. Quand cela arrive, on sait que le bestiau n’est pas propre… On essaiera forcément de nous intenter des procès baillons…

 

 

Presse libre et vraiment libre.

Bien sûr, dire que les DNA sont libres, cela ferait tellement rire que l’on se taperait le cul par terre. La liberté s’arrête où commence celle du Crédit Mutuel.

Un autre média concurrent s’autoproclame la seule presse libre et couine qu’il lui manque 15 000 euros, pour finir l’année. Ce même média subventionné et pas qu’un peu par la mairie de Strasbourg. Ce même média qui défendra quoiqu’il advienne la main qui le nourrit. Ce même média qui pique un article d’Hed’di en attendant tranquillement que ce dernier en tire les marrons du feu. Le danger et les insultes n’ont été que pour nous.

Un exemple de presse soi-disant libre que l’on ne suivra jamais. Se proclamer libre et subventionné par une institution, cela fait un joli fil à la patte.

La presse libre, c’est nous ! Rien que nous en Alsace.

Gouailleur, intrépide et n’ayant pas peur d’aller au front et d’en subir les conséquences : c’est nous !

Vous aimez la liberté de parole : abonnez-vous.

Dire la vérité est pour vous primordial ? Faites un don à Heb’di.

Laisser un commentaire